Maillot Ultra Psg : Quelles sont les cinq étapes d’un processus d’achat classiquement reconnues ?

Après on a un format particulier avec le Final Four qui se joue sur un week-end, c’est particulier. Jouer Kiel c’est jamais anodin, chaque année c’est aussi une des équipes qui est toujours à abattre, qui est toujours dans les phases finales, qui dispute le titre de champion d’Allemagne, toujours des grands joueurs qui évoluent là-bas, donc forcément c’est toujours particulier d’affronter Kiel, on sait que c’est quelque chose de prestigieux, on a aussi conscience de ça« . On est très content d’avoir gagné de quatre buts à Kiel évidemment, c’était un exploit, si on nous avais dis avant le match qu’on gagnerais d’un but on aurais signé tout de suite. Pour nous l’objectif c’est toujours d’atteindre le Final Four, c’est une première étape. Mais pour moi, ça passera par une bonne saison avec Paris, de bonnes performances, et essayer de finir à Paris l’été prochain ça serait génial ! Outre l’actualité chargée de la section Handball du Paris Saint-Germain entre la Ligue des Champions et la fin de saison en championnat on ne peut plus haletante, Luka Karabatic, au micro de Canal Supporters, a également partagé son rapport avec la famille Rouge & Bleu : « Oui j’ai cette sensation d’appartenance, pour moi je suis au Paris Saint-Germain, je suis pas au Paris Saint-Germain Handball.

2001-02 Paris Saint-Germain Nike Maillot Extérieur L.Boys La famille Rouge & Bleu existe bel et bien, du football (masculin ou féminin), au handball, en passant par le judo en soulignant le récent et onzième titre de champion du monde glané par Teddy Riner à Doha, au Qatar. Le double meilleur défenseur de Ligue des Champions lors des saisons 2016/2017 & 2017/2018, dans l’antre du PSG Handball, a également évoqué l’objectif que représentait un titre européen pour le club de la capitale, en parallèle à l’obsession que celui-ci représente en football : « Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est une obsession, mais c’est un objectif clairement affiché chaque saison. Quand tu joues dans un des meilleurs championnat européen et que tu es champion, forcément derrière c’est un objectif de gagner cette Ligue des Champions. Une fois cet objectif rempli, derrière il peut se passer plein de chose, mais oui in a toujours cet objectif affiché d’essayer de gagner la Ligue des Champions« . Cet aspect de club omnisport se traduit parfaitement dans les propos du capitaine de l’équipe de handball parisienne au sujet de sa relation avec le président Nasser Al-Khelaïfi : « C’est un rapport de respect, de reconnaissance aussi, de voir tous les moyens qui ont été mis au handball pour reprendre cette équipe là et créer tout ce qui a été créé ici, au niveau de l’équipe, du staff, des employés du club.

Evidement on est très content quand Nasser peut venir nous encourager et être là, même si c’est pas toujours le cas, on comprend parce qu’il y a beaucoup d’engagements et beaucoup de responsabilités« . Le plus important c’est qu’elle arrive, que ce soit le foot, masculin ou féminin, ou nous. C’est dans les deux sens. C’est les mêmes rivalités aussi, tu sens que tu es dans un club omnisports, et qu’il y a le poids de l’histoire et du maillot. Pour autant, Luka Karabatic ne parle pas de sentiment de revanche : « Non je n’irais pas jusque-là parce qu’il y a deux ans on les avais battu. Le poids de BeIn Sports n’est pas négligeable, permettant au club d’avoir une visibilité au-delà de ses frontières aidée en cela par les réseaux sociaux et une web TV, « PSG TV ». Si dans l’inconscient de beaucoup la section Handball du PSG est isolée, Luka Karabatic insiste et le rappelle : il n’en n’est rien.

Une étape que Luka Karabatic, à 35 ans, n’a évidement pas omise dans son calendrier à long terme et pour la suite de sa carrière : « C’est une année chargée l’an prochain je l’espère. Luka Karabatic a sa petite idée : « (Sourire) Cette année on a plus de chances, on est toujours en course. S’il ne veut pas trop s’y « projeter », rappelant « que plein de choses peuvent se passer », Nikola Karabatic espère évidemment terminer sa carrière en apothéose en France à l’occasion des Jeux olympiques. Mais je pourrais pas donner mon avis tactiquement et techniquement. J’ai engagé mon esprit et mon corps dans cette discipline si exigeante physiquement et mentalement », poursuit-il, assurant qu’il se donnera à « 200 % ». Une rencontre qui sera la 18e (7 victoires – 3 nuls – 8 défaites) entre les deux clubs, de quoi apporter une odeur de classique dans cette confrontation : « C’est sur que d’affronter Kiel oui, dans le handball européen c’est ce qu’il se fait de mieux, c’est un club emblématique, une salle emblématique. Après huit saisons au Paris Saint-Germain, le pivot parisien aborde ce quart de finale retour face à Kiel avec méfiance : « C’est un peu piégeux.

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